... Ou presque :)
Ma dernière marée, je l'ai passée sur le bateau où j'ai navigué pendant mes 4 premières saisons. Quel bonheur de le retrouver même si les équipes et les rotations ont changées et même si j'appréhendais un peu mon poste sur ce navire. Parce qu'il faut bien l'avouer, ce rafiot est quand même bien plus grand que les autres et ses rotations un peu spéciales puisque qu'on change constamment de port d'attache. Je ne fut pas déçue du voyage !
Tout d'abord je me suis vite rendue compte de la grandeur de la galère (chose qui m'avait complétement échappée auparavant). Il faut dire que je n'ai pas arrêté de courir de ma cabine du pont 5 (arrière) à mon bureau au pont 9 (avant). Mais aussi du bureau à l'imprimante et à la photocopieuse (pas moins de 5 portes à franchir et tout autant de coursives). Puis du pont 9 au pont 8 (avant) puis au pont 7 (arrière) avant de me rendre au pont 6 (milieu). Un vrai jeu de piste. Heureusement que je connaissais les lieux :D
En plus de cette course perpétuelle à bord, le ferry a du se lancer dans une course contre la montre à cause d'un problème de moteur : 2h de retard par ci, 1h par là et toutes nos escales ont fondu comme neige au soleil. Moi qui me réjouissais tant de redescendre en Espagne, j'ai du me contenter de la regarder de loin. Misère !
Je n'ai même pas pu aller me régaler de fraises !!!
M'enfin. A part ça je dois dire que mes appréhensions du départ se sont bien vite envolées une fois plongée dans le boulot. Finalement la marée est vite passée et me voilà revenu sur terre en été. Chaud été !
Ma dernière marée, je l'ai passée sur le bateau où j'ai navigué pendant mes 4 premières saisons. Quel bonheur de le retrouver même si les équipes et les rotations ont changées et même si j'appréhendais un peu mon poste sur ce navire. Parce qu'il faut bien l'avouer, ce rafiot est quand même bien plus grand que les autres et ses rotations un peu spéciales puisque qu'on change constamment de port d'attache. Je ne fut pas déçue du voyage !
Tout d'abord je me suis vite rendue compte de la grandeur de la galère (chose qui m'avait complétement échappée auparavant). Il faut dire que je n'ai pas arrêté de courir de ma cabine du pont 5 (arrière) à mon bureau au pont 9 (avant). Mais aussi du bureau à l'imprimante et à la photocopieuse (pas moins de 5 portes à franchir et tout autant de coursives). Puis du pont 9 au pont 8 (avant) puis au pont 7 (arrière) avant de me rendre au pont 6 (milieu). Un vrai jeu de piste. Heureusement que je connaissais les lieux :D
En plus de cette course perpétuelle à bord, le ferry a du se lancer dans une course contre la montre à cause d'un problème de moteur : 2h de retard par ci, 1h par là et toutes nos escales ont fondu comme neige au soleil. Moi qui me réjouissais tant de redescendre en Espagne, j'ai du me contenter de la regarder de loin. Misère !
Je n'ai même pas pu aller me régaler de fraises !!!
M'enfin. A part ça je dois dire que mes appréhensions du départ se sont bien vite envolées une fois plongée dans le boulot. Finalement la marée est vite passée et me voilà revenu sur terre en été. Chaud été !