Vu. Enfin vu. Dimanche soir.
Et j'ai été bien moins déçue que pour le 4 en sortant de la salle noire.
Certes, c'est encore bien loin de ce que j'espérais mais ça aurai pu être pire.
Déjà les nouveaux personnages introduit dans ce film me plaisent.
Ombrage : Imelda était tout à fait à l'aise dans la vieille peau de cette bonne femme détestable et aigrie qui prend plaisir à tout contrôlé, à s'enivrer de son pouvoir illusoire, à torturer ses élèves qu'elle déteste aussi cordialement qu'ils la détestent. Je l'ai presque aussi haï que dans le bouquin.
Luna : Evanna a également réussi à s'incarner en ce personnage lunaire, tête-en-l'air, toujours dans planant dans un autre monde. Et pourtant je ne l'imaginais pas vraiment de la sorte.
Bellatrix : Surprenant comme Hellena m'a surprise avec sa voix haut perchée et ses allures de démente complètement folle du Dark Lord. J'ai même réussi à adhérer à son visage rond et enfantin qui est pourtant loin d'être celui de la terrible Bella dans les romans. A moins que cette idée ne soit du qu'à ma seule imagination.
Pour le reste, les jeunes acteurs progressent, à l'exception de ce cher Daniel que je trouve toujours aussi incapable d'exprimer le moindre sentiment. Mais que fait-il donc dans le rôle d'Harry. Celui de Voldy lui aurait sans doute mieux convenu, niveau 'émotionnel'. OK, c'était méchant, mais, je n'aime pas son jeu d'acteur. Trop fade.
Ma plus grosse déception vient d'ailleurs de là : Il ne se met même pas en colère correctement à son arrivée dans la très ancienne et très noble maison des Black et ne manifeste pas plus de douleur 'qu'une petite cuillère' (pour reprendre l'expression d'Hermione) à la mort de Sirius. Mort par ailleurs bâclée. Dommage.
A propos de Sirius, je n'arrive pas à me faire à l'image qu'il a dans les films. Pourtant j'adore l'acteur qui l'incarne cette fois. Non, cela ne vient pas de Garry Oldman... mais je ne vois pas Sirius comme ça et je le vois trop nettement pour pouvoir changer ma vision de lui. Tant pis.
Voilà encore une preuve de la nette supériorité des romans sur les films : ils laissent libres l'imagination des lecteurs. Et moi, j'aime cette liberté. Je l'aime tellement que je vais m'empresser de retourner à la version papier des aventures du sorcier à lunette. La lecture du tome 7 commencera cette semaine, à bord. De quoi passer une agréable marée :)
Et j'ai été bien moins déçue que pour le 4 en sortant de la salle noire.
Attention :
Spoilers à suivre...
(fin de l'attention)
Spoilers à suivre...
(fin de l'attention)
Certes, c'est encore bien loin de ce que j'espérais mais ça aurai pu être pire.
Déjà les nouveaux personnages introduit dans ce film me plaisent.
Ombrage : Imelda était tout à fait à l'aise dans la vieille peau de cette bonne femme détestable et aigrie qui prend plaisir à tout contrôlé, à s'enivrer de son pouvoir illusoire, à torturer ses élèves qu'elle déteste aussi cordialement qu'ils la détestent. Je l'ai presque aussi haï que dans le bouquin.
Luna : Evanna a également réussi à s'incarner en ce personnage lunaire, tête-en-l'air, toujours dans planant dans un autre monde. Et pourtant je ne l'imaginais pas vraiment de la sorte.
Bellatrix : Surprenant comme Hellena m'a surprise avec sa voix haut perchée et ses allures de démente complètement folle du Dark Lord. J'ai même réussi à adhérer à son visage rond et enfantin qui est pourtant loin d'être celui de la terrible Bella dans les romans. A moins que cette idée ne soit du qu'à ma seule imagination.
Pour le reste, les jeunes acteurs progressent, à l'exception de ce cher Daniel que je trouve toujours aussi incapable d'exprimer le moindre sentiment. Mais que fait-il donc dans le rôle d'Harry. Celui de Voldy lui aurait sans doute mieux convenu, niveau 'émotionnel'. OK, c'était méchant, mais, je n'aime pas son jeu d'acteur. Trop fade.
Ma plus grosse déception vient d'ailleurs de là : Il ne se met même pas en colère correctement à son arrivée dans la très ancienne et très noble maison des Black et ne manifeste pas plus de douleur 'qu'une petite cuillère' (pour reprendre l'expression d'Hermione) à la mort de Sirius. Mort par ailleurs bâclée. Dommage.
A propos de Sirius, je n'arrive pas à me faire à l'image qu'il a dans les films. Pourtant j'adore l'acteur qui l'incarne cette fois. Non, cela ne vient pas de Garry Oldman... mais je ne vois pas Sirius comme ça et je le vois trop nettement pour pouvoir changer ma vision de lui. Tant pis.
Voilà encore une preuve de la nette supériorité des romans sur les films : ils laissent libres l'imagination des lecteurs. Et moi, j'aime cette liberté. Je l'aime tellement que je vais m'empresser de retourner à la version papier des aventures du sorcier à lunette. La lecture du tome 7 commencera cette semaine, à bord. De quoi passer une agréable marée :)
Enfin, j'espère...