J'aurai du reprendre la mer et le boulot le premier avril... et bien il n'en sera rien. Voilà un poisson d'avril dont je me serais bien passé.
Cette mauvaise blague m'est tombée sur le coin de la figure vendredi alors que j'appelais le service des galériens pour avoir la confirmation de mon embarquement pourtant programmé depuis longtemps. Et là, l'aimable personne m'annonce que, non, je ne suis plus sur la liste des futures embarquée faute de passagers suffisant. Je proteste, je réclame, mais rien à faire il n'y a de place sur aucun des navires de la compagnie. Je raccroche, plus que mécontente et indignée. Ils ne m'auraient même pas prévenu si je n'avais pas appelé. Ils m'auraient laissé parcourir les 60km qui me sépare du lieu du port pour me renvoyé ensuite chez moi sans autre forme de procès. Ils me laissent dans l'expectative d'un prochain départ, me condamnent à rester disponible en permanence, esclave d'un coup de téléphone. Je trouve cela insupportable.
Combien de temps vais-je devoir encore rester à la maison, attendant mon énième CCD qui me permettra de vivre cette année ? Combien d'années encore ce manège va-t-il durer avant d'obtenir le CDI tant attendu ? Lors de l'entretient d'embauche, passé en 2004, on nous l'avait pourtant promis au bout de trois saisons de bons et loyaux services !!!... Aujourd'hui, je crains de plus en plus de ne jamais voir venir ce jour. Et j'en ai marre.
Vraiment marre. Au point de penser de plus en plus à me tourner vers d'autres horizons, à repartir sur des chemins qui me plairont davantage.
J'ai déjà fait un premier pas. J'en ferai sans doute d'autres.
Cette mauvaise blague m'est tombée sur le coin de la figure vendredi alors que j'appelais le service des galériens pour avoir la confirmation de mon embarquement pourtant programmé depuis longtemps. Et là, l'aimable personne m'annonce que, non, je ne suis plus sur la liste des futures embarquée faute de passagers suffisant. Je proteste, je réclame, mais rien à faire il n'y a de place sur aucun des navires de la compagnie. Je raccroche, plus que mécontente et indignée. Ils ne m'auraient même pas prévenu si je n'avais pas appelé. Ils m'auraient laissé parcourir les 60km qui me sépare du lieu du port pour me renvoyé ensuite chez moi sans autre forme de procès. Ils me laissent dans l'expectative d'un prochain départ, me condamnent à rester disponible en permanence, esclave d'un coup de téléphone. Je trouve cela insupportable.
Combien de temps vais-je devoir encore rester à la maison, attendant mon énième CCD qui me permettra de vivre cette année ? Combien d'années encore ce manège va-t-il durer avant d'obtenir le CDI tant attendu ? Lors de l'entretient d'embauche, passé en 2004, on nous l'avait pourtant promis au bout de trois saisons de bons et loyaux services !!!... Aujourd'hui, je crains de plus en plus de ne jamais voir venir ce jour. Et j'en ai marre.
Vraiment marre. Au point de penser de plus en plus à me tourner vers d'autres horizons, à repartir sur des chemins qui me plairont davantage.
J'ai déjà fait un premier pas. J'en ferai sans doute d'autres.