Me voici de retour sur terre, après 5 jours de mer. Cinq jours, ce fut une bien courte marée pour recommencer la saison. Courte mais éprouvante.
Tout d'abord parce que j'ai 'échouée' au poste du 'Change'. A moi, les joies de changer les livres britanniques (£) en euros (€) en prenant bien garde de ne pas faire d'erreur, de recompter encore et toujours les précieux billets de toutes les couleurs. Tout cela n'est pas très rassurant au départ car il ne faut surtout pas faire d'erreurs en donner par mégarde un billet de trop ou de moins. Ce fut finalement moins terrible que je ne le pensais au départ, et puis je n'avais pas de longues tranches horaires à passer dans mon bureau blindé.
Heureusement, car les nuits ont été courtes : finir le travail à minuit pour le reprendre à 5h30 le lendemain matin ne laisse finalement que peu de temps pour dormir. Par chance, j'avais ensuite des bonnes pauses dans la journée pour retourner faire une bonne sieste parfois plus longue que ma nuit !!! Et encore, quand mon odieuse cabine me laisser dormir en paix sans grincer de toute part. Je ne sais pourquoi elle grinçait ainsi, une fois sur deux. Plus d'une fois, j'ai déménagé mon matelas-crêpe aux pieds de la porte, à même le sol pour m'éloigner de ces maudits gémissement plaintif m'empêchant de trouver le sommeil.
A cela, il faut ajouter une autre 'surprise' : l'évacuation de la douche était encombrée de choses tellement ignobles qu'elles ne peuvent avoir de nom. Lors de ma première douche, l'eau est restée faire des vagues à mes pieds, s'écoulant difficilement par la grille prévue à cet effet et au final, l'eau à franchi la porte de la salle de bain. Quel bonheur de poser son pied tout propre et tout sec sur une serviette gorgée d'eau !!! J'ai passé une bonne heure à tenter de réparer les dégâts en épongeant la moquette trempée avec les serviettes trouvées dans ma cabine. Mais cette maudite flaque est resté vaillante jusqu'au dernier jour, m'obligeant à laver puis sécher mes serviettes avant de ré-éponger la moquette tout en mettant le chauffage à fond pour accélérer le séchage. Voilà ce que c'est de naviguer sur un rafiot de plus de trente ans.
J'espère retrouver mon habituelle galère moderne dès mon prochain embarquement prévu pour le 1° avril... à moins que cela change encore d'ici là.
Tout d'abord parce que j'ai 'échouée' au poste du 'Change'. A moi, les joies de changer les livres britanniques (£) en euros (€) en prenant bien garde de ne pas faire d'erreur, de recompter encore et toujours les précieux billets de toutes les couleurs. Tout cela n'est pas très rassurant au départ car il ne faut surtout pas faire d'erreurs en donner par mégarde un billet de trop ou de moins. Ce fut finalement moins terrible que je ne le pensais au départ, et puis je n'avais pas de longues tranches horaires à passer dans mon bureau blindé.
Heureusement, car les nuits ont été courtes : finir le travail à minuit pour le reprendre à 5h30 le lendemain matin ne laisse finalement que peu de temps pour dormir. Par chance, j'avais ensuite des bonnes pauses dans la journée pour retourner faire une bonne sieste parfois plus longue que ma nuit !!! Et encore, quand mon odieuse cabine me laisser dormir en paix sans grincer de toute part. Je ne sais pourquoi elle grinçait ainsi, une fois sur deux. Plus d'une fois, j'ai déménagé mon matelas-crêpe aux pieds de la porte, à même le sol pour m'éloigner de ces maudits gémissement plaintif m'empêchant de trouver le sommeil.
A cela, il faut ajouter une autre 'surprise' : l'évacuation de la douche était encombrée de choses tellement ignobles qu'elles ne peuvent avoir de nom. Lors de ma première douche, l'eau est restée faire des vagues à mes pieds, s'écoulant difficilement par la grille prévue à cet effet et au final, l'eau à franchi la porte de la salle de bain. Quel bonheur de poser son pied tout propre et tout sec sur une serviette gorgée d'eau !!! J'ai passé une bonne heure à tenter de réparer les dégâts en épongeant la moquette trempée avec les serviettes trouvées dans ma cabine. Mais cette maudite flaque est resté vaillante jusqu'au dernier jour, m'obligeant à laver puis sécher mes serviettes avant de ré-éponger la moquette tout en mettant le chauffage à fond pour accélérer le séchage. Voilà ce que c'est de naviguer sur un rafiot de plus de trente ans.
J'espère retrouver mon habituelle galère moderne dès mon prochain embarquement prévu pour le 1° avril... à moins que cela change encore d'ici là.
2 commentaires:
Ah! L'aspect austère de la vie sur un navire... Contente de te savoir rentrée pour te remettre de tes émotions douchesques!!!
Voui, cela fait du bien d'être de retour chez soi ;)
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