Entre mes deux derniers séjour en mer, j'ai passé 1 jour à la maison. Ni plus, ni moins.
Comme il était prévu, j'ai embarqué dimanche 7 mars en Normandie. Mais arrivée à bord, on m'a annoncé que je devais débarquer le mardi 9 au lieu du jeudi 11 initialement prévu... la faute à un changement de jour de relève inopportun qui eu le mauvais goût de s'annoncer le vendredi après-midi. Il était naturellement trop tard pour prévenir une pauvre galérienne de ce changement !
M'enfin, de toute évidence, je n'ai pas été la seule à trouver le revirement un peu serré puisque, faute de relève pour tout le monde, j'ai pu rester un jour de plus et débarquer le mercredi soir, tard dans la soirée. On m'a confié en prime la mission de raccompagner à son domicile une autre galérienne condamnée elle aussi à rester le mercredi.
Je suis rentrée à la maison tôt le jeudi matin. 2h30 pour être remarquablement précise. Et, curieusement, j'ai passé le reste du jeudi à flemmarder au lit au devant mon ordi, peu fière d'avoir à reprendre la mer dès le lendemain.
Le vendredi 12, j'étais de nouveau à bord. Non sans avoir tremblée comme une feuille suite à un accrochage avec un camion qui, de toute évidence, n'avait point pensé à regarder ce qui ce trouvait derrière lui avant de déboiter !!! Maudit camion... qui, au passage, ne s'est même pas arrêté ! Ma pauvre voiture en eu le clignotant brisé.
De retour pour 6 jours à bord de la galère de l'an passée, je retrouvais d'anciens 'chefs' galériens qui, hélas, n'avaient guère changé. Qu'importe, puisque je n'aurais normalement pas à les souffrir bien longtemps !
Au lundi, je commençais à trouver le temps long. Le mardi, je récoltais le mauvais microbe qui trainait dans les coursives. Le mercredi, je n'avais plus qu'une hâte : débarquer le lendemain... Le jeudi matin, je quittais cette galère. Enfin.
Le jeudi après-midi, je roulais en direction de la casse afin de dégoter à ma petite voiture adorée un 'nouveau' clignotant. Le jeudi soir, je rentrais chez moi avec ma chère voiture équipée d'un clignotant greffé.
Depuis rien.
Comme il était prévu, j'ai embarqué dimanche 7 mars en Normandie. Mais arrivée à bord, on m'a annoncé que je devais débarquer le mardi 9 au lieu du jeudi 11 initialement prévu... la faute à un changement de jour de relève inopportun qui eu le mauvais goût de s'annoncer le vendredi après-midi. Il était naturellement trop tard pour prévenir une pauvre galérienne de ce changement !
M'enfin, de toute évidence, je n'ai pas été la seule à trouver le revirement un peu serré puisque, faute de relève pour tout le monde, j'ai pu rester un jour de plus et débarquer le mercredi soir, tard dans la soirée. On m'a confié en prime la mission de raccompagner à son domicile une autre galérienne condamnée elle aussi à rester le mercredi.
Je suis rentrée à la maison tôt le jeudi matin. 2h30 pour être remarquablement précise. Et, curieusement, j'ai passé le reste du jeudi à flemmarder au lit au devant mon ordi, peu fière d'avoir à reprendre la mer dès le lendemain.
Le vendredi 12, j'étais de nouveau à bord. Non sans avoir tremblée comme une feuille suite à un accrochage avec un camion qui, de toute évidence, n'avait point pensé à regarder ce qui ce trouvait derrière lui avant de déboiter !!! Maudit camion... qui, au passage, ne s'est même pas arrêté ! Ma pauvre voiture en eu le clignotant brisé.
De retour pour 6 jours à bord de la galère de l'an passée, je retrouvais d'anciens 'chefs' galériens qui, hélas, n'avaient guère changé. Qu'importe, puisque je n'aurais normalement pas à les souffrir bien longtemps !
Au lundi, je commençais à trouver le temps long. Le mardi, je récoltais le mauvais microbe qui trainait dans les coursives. Le mercredi, je n'avais plus qu'une hâte : débarquer le lendemain... Le jeudi matin, je quittais cette galère. Enfin.
Le jeudi après-midi, je roulais en direction de la casse afin de dégoter à ma petite voiture adorée un 'nouveau' clignotant. Le jeudi soir, je rentrais chez moi avec ma chère voiture équipée d'un clignotant greffé.
Depuis rien.
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