Après avoir passé sept jours en mer, me voici enfin de retour sur terre. Cette première marée fut rude. Pénible. Et longue. Presque interminable pour tout dire.
J'ai passé de nombreuses heures à courir d'un poste à l'autre sans avoir vraiment le temps de reprendre mon souffle. Les longues journées se sont ainsi succédées les unes aux autres, seulement entrecoupées de quelques siestes semées aux quatre vents et de nuits si courtes que je me réveillais avant d'avoir eu le temps de goûter au repos d'un bon sommeil. Morphée avait du déserter le gris des flots cette semaine... et je redoute déjà la prochaine.
Le Marchant de Sable viendra-t-il en mer déposer un peu de sa poussière magique au bord de mes paupières lourdes de fatigue ?
J'ai passé de nombreuses heures à courir d'un poste à l'autre sans avoir vraiment le temps de reprendre mon souffle. Les longues journées se sont ainsi succédées les unes aux autres, seulement entrecoupées de quelques siestes semées aux quatre vents et de nuits si courtes que je me réveillais avant d'avoir eu le temps de goûter au repos d'un bon sommeil. Morphée avait du déserter le gris des flots cette semaine... et je redoute déjà la prochaine.
Le Marchant de Sable viendra-t-il en mer déposer un peu de sa poussière magique au bord de mes paupières lourdes de fatigue ?
4 commentaires:
Je ne sais pas si le Marchand, vieux comme il l'est, viendra en mer, mais je t'envoie de la pluie. Apparement elle aura des virtues appaisantes :)
et de retour sur terre, le Marchand est-il de retour?
Vi, le Marchand est de retour :)
Espérons qu'il me suivra sur les flots...
Sympa, Monsieur le Marchand!
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