Après notre escale parisienne et notre doux repos auprès de Lusci et son compagnon, nous avons emmenés Dame-oisal à Grenoble. Grâce à mon chauffeur bien-aimé arrivés pile à l'heure chez ses Grands-parents que je n'avais pas vu depuis bien longtemps. Quel bonheur de les revoir, de passer un moment avec eux, de discuter tous ensemble autour de bons repas. Une parenthèse suspendue dans le temps et un grand merci à eux pour leur accueil chaleureux.
Et là, entre les hauts massifs de la Chartreuse, du Vercors et de Belladone, Grenoble nous attendait. Trop grande cependant pour que l'on puisse espéré visiter la ville en quelques heures.
Alors, nous avons pris de la hauteur. A bord des œufs du téléphérique grenoblois, nous sommes montés à la Bastide dont nous avons fait le tour sous un soleil de plomb en admirant la vu sur la vallée de l'Isère et les montagnes environnantes. Sans oublié de regarder à nos pieds les plantes odorantes peuplant les lieux... certaines nous ramenant Lusci et moi dans notre passé provençal.
Et là, entre les hauts massifs de la Chartreuse, du Vercors et de Belladone, Grenoble nous attendait. Trop grande cependant pour que l'on puisse espéré visiter la ville en quelques heures.
Alors, nous avons pris de la hauteur. A bord des œufs du téléphérique grenoblois, nous sommes montés à la Bastide dont nous avons fait le tour sous un soleil de plomb en admirant la vu sur la vallée de l'Isère et les montagnes environnantes. Sans oublié de regarder à nos pieds les plantes odorantes peuplant les lieux... certaines nous ramenant Lusci et moi dans notre passé provençal.