Première escale : Paris
Nous venons d'y passer un jour entier à crapahuter dans les rues de la capitale avec mon aimé. Note : le zoom sur le plan est aussi indispensable que la consultation des plans de la ville au dos des abris de bus.
Bon, avouons le, au départ il était prévu que l'on s'installe confortablement sur un siège pour regarder en live le tournois de Roland Garros. Mais le (mauvais) sort en a décider autrement : impossible d'acheter le moindre billet à l'entrée du complexe. Toutes les places s’envolent des mois à l'avance sur le net. Toutes ? Non. Certaines s'arrachent encore au marché noir à des prix proprement scandaleux ! Tant pis pour la petite balle jaune et la terre rouge...
Nous avons déserté la porte d'Auteuil pour la place de l’Étoile. De là, nous avons longé l'avenue des Champs Élysées avant de bifurquer vers le nord à la recherche du Palais de l'Elysée, bien gardé. Puis nous avons gagné le boulevard Haussmann et longé les galeries La Fayette jusqu'à l'Opéra Garnier. Nous avons continué d'avancer sur le boulevard des Italien jusqu'au musée Grévin sans toutefois prendre le temps d'y saluer les célébrités de cire.
Le soleil était encore haut dans le ciel quand nous somme redescendu vers le Louvre pour flâner dans le jardin des Tuilerie jusqu'à l'Obélisque. Enjambant la Seine par le pont de la Concorde, nous sommes passés devant l’Assemblée Nationale avant de longer les quais envahis de bouquinistes vers l’île de la Cité. Là nous avons suivit le Quai des Orfèvres jusqu'au Palais de Justice avant d'aller voir le Panthéon en passant par la Sorbonne.
Pour finir notre périple parisien nous avons descendu la rue Mouffetard bordée de bars, pubs, restaurants et diverses petites échoppes en tout genre. Un lieu qui m'a semblé bien sympathique et bien vivant. Arrivés dans l'avenue des Gobelins, nous nous sommes aperçu que nous étions éloigné de notre lieu de rendez-vous avec le compagnon de Lusci. Du coup, nous avons de nouveau parcouru la rue Mouffetard pour gagner Jussieu. Lusci, arrivant de Londres, nous à rejoins peu après.
Peu avant la tombée de la nuit, nous avons pris la direction de la gare de Lyon pour sauter dans l'un des derniers trains à destination de Bois le Roi. De là, nous n'avons pas été bien long à regagner le nid douillet de dame Lusci. Tous bien fatigué par notre journée, nous avons cédé à Morphée jusqu'à tard le lendemain.
Aujourd'hui la journée fut bien plus paisible. Demain notre escale prend fin et nous reprendrons la route. Vers le sud.
2 commentaires:
Tu es passée à deux pas de mon bureau !
Zut alors !
Si j'avais su, je serais bien volontiers passée te faire un petit coucou :)
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