Le ciel de nos vacances dans le Lot s'étant vite assombri, nous sommes partis à la rencontre des beaux villages disséminés en amont de la Dordogne bordant l'imposante abbaye de Souillac.
Longeant la rivière, suivant la route serpentant entre les vertes collines, nous sommes arrivés en vu d'Autoire que nous avons tout d'abord découvert du haut de sa cascade.
Du village, les chutes d'eau se devinent à peine, perdues dans le vert des alentours.
A une encablure, le paisible village de Loubressac montait la garde sous un ciel de plomb.
Ces ruelles pittoresques avaient attiré des peintres venu du Soleil Levant.
Juste en face, sur un autre promontoire rocheux, le village de Castelnau-Bretenoux, situé sur la commune de prudhomat, faisait corps autour de son château.
Rouge. Les pierres du châteaux comme celles du villages étaient rouges. Feu, sang ou rouille... sans doute un peu des trois tant cet étrange village nous a semblait fantomatique. Et néanmoins magique.
Redescendant vers la Dordogne, nous avons fait hâlte à Carennac. Deux fois.
La première, nous avons doucement flâné au bord de l'eau, plaignant les pauvres barques pleine d'eau qui jonchaient la rive de la rivière et admirant les maisons tapissées de vert.
La seconde, nous nous sommes glissés à l'ombre du cloître dominé de hautes tours.
Passant de l'autre côté de la Dordogne, nous avons arpenté les rues médiévales de Martel qui, le jour de notre visite, furent le théâtre d'une foire aux puces.
Puis un peu plus au nord, en Corrèze, nous avons découvert Curemonte au 3 châteaux, aux trois églises et aux trois fontaines.
Tant de merveilles qui nous plaira de revoir un jour prochain...
2 commentaires:
Je suis passée par les villages que tu cites (notamment Martel) et je ne peux qu'approuver le dépaysement et l'allégresse que provoque les paysages. Ça change de la Dordogne malgré tout. C'est encore... sauvage :d
Oui, c'est exactement ça : c'est plus "sauvage", "brut" et les paysages sont vraiment grandioses !
Enregistrer un commentaire