Promenade au bois de Keroual dimanche, il faisait beau mais froid, plus froid que le bleu de ciel ne le laissait supposer, du coup la ballade a été quelque peu écourtée... hélas. Deux fois hélas même car je n'ai pu prendre autant de photos que ce que j'aurais voulu... la faute aux piles pas assez rechargées. Enfin c'est plutôt ma faute, trop tête en l'air pour ne pas avoir pensé à les mettre à charger plus tôt...
A quand les piles qui pense a se recharger toutes seules??? Cette défaillance était cependant une bonne nouvelle pour mon cher et tendre qui n'a pas eu à supporter trop longtemps ma "boulimie" en la matière.
Car j'avoue prendre trop de photos intempestives surtout en présence de ces arbres parrés de leur plus beau feuillage automnal. Ah, voilà bien le gros "problème" de la photo numérique : no limit (hormis celle de la durée de vie des piles... arhhh!!!). Jadis (il y a un an), j'étais considérablement limité par les 24 photos disponibles sur ma pélicule, et puis impossible d'avoir le moindre apperçu de ma prise avant le développement final. Ce n'est plus le cas avec le numérique : à peine appuyé sur le bouton, pof : le résultat. S'il est bien tant mieux, sinon il n'y a plus qu'à effacer et recommencer jusqu'à l'obtention du resultat voulu... c'est la société de consommation photographique, la photo "klennex", on prend, on jette... ou on garde, quand même quand c'est bien. J'étais contre, résolument contre il y a un an.
Et puis j'ai changé d'avis... pas complètement bien sur car mon numérique est loin d'être aussi performant que mon argentique chéri et adoré, mais pour faire des photos souvenirs vite fait bien fait, des essais de prises, ou tout simplement un (très) grand nombre de photos le numérique c'est plus pratique (pour la rime). Par contre impossible pour lui de rivaliser avec mon argentique quand il s'agit de faire de la "belle" photo, artistique, avec un effet "surimpression" que j'adore. Et puis l'argentique a maintenant ce petit côté ancien et éternel presque vénérable à côté de la jeunesse souvant un peu gadget des numériques. Preuve : il devient de plus en plus difficille de rencontrer un de ces vénérable ancêtre argentique dans les grandes surfaces, obligé de ce rendre dans les boutiques spécialisées, un peu comme on ce rend chez un bouquiniste pour y dégoter un vieux grimoire... et c'est peut-être pour ça que je préfère encore et toujours la photo argentique, elle a ce petit quelque chose d'authentique, de non "traficable" et de palpable qui l'a rend unique et irremplaçable. Et cela méritait bien que je l'écrive ici.
A quand les piles qui pense a se recharger toutes seules??? Cette défaillance était cependant une bonne nouvelle pour mon cher et tendre qui n'a pas eu à supporter trop longtemps ma "boulimie" en la matière.
Car j'avoue prendre trop de photos intempestives surtout en présence de ces arbres parrés de leur plus beau feuillage automnal. Ah, voilà bien le gros "problème" de la photo numérique : no limit (hormis celle de la durée de vie des piles... arhhh!!!). Jadis (il y a un an), j'étais considérablement limité par les 24 photos disponibles sur ma pélicule, et puis impossible d'avoir le moindre apperçu de ma prise avant le développement final. Ce n'est plus le cas avec le numérique : à peine appuyé sur le bouton, pof : le résultat. S'il est bien tant mieux, sinon il n'y a plus qu'à effacer et recommencer jusqu'à l'obtention du resultat voulu... c'est la société de consommation photographique, la photo "klennex", on prend, on jette... ou on garde, quand même quand c'est bien. J'étais contre, résolument contre il y a un an.
Et puis j'ai changé d'avis... pas complètement bien sur car mon numérique est loin d'être aussi performant que mon argentique chéri et adoré, mais pour faire des photos souvenirs vite fait bien fait, des essais de prises, ou tout simplement un (très) grand nombre de photos le numérique c'est plus pratique (pour la rime). Par contre impossible pour lui de rivaliser avec mon argentique quand il s'agit de faire de la "belle" photo, artistique, avec un effet "surimpression" que j'adore. Et puis l'argentique a maintenant ce petit côté ancien et éternel presque vénérable à côté de la jeunesse souvant un peu gadget des numériques. Preuve : il devient de plus en plus difficille de rencontrer un de ces vénérable ancêtre argentique dans les grandes surfaces, obligé de ce rendre dans les boutiques spécialisées, un peu comme on ce rend chez un bouquiniste pour y dégoter un vieux grimoire... et c'est peut-être pour ça que je préfère encore et toujours la photo argentique, elle a ce petit quelque chose d'authentique, de non "traficable" et de palpable qui l'a rend unique et irremplaçable. Et cela méritait bien que je l'écrive ici.
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