Ballade au milieu des bois, je venais là chaque fois que j'éprouvais le besoin de me ressourcer. C'est un petit coin de verdure autour d'un plan d'eau perdu entre ce monde et un autre. Autour, une chapelle abandonnée autrefois ravagée par le feu, un moulin qui a oublié de tourné privé de sa roue, une auberge au charme d'autrefois qui reste réservée au bord de la route, un peu plus loin le château de l'ancienne famille qui jadis régnait sans partage en ce lieu et plus loin encore, perchée sur une roche nue, une ruine qui m'étais apparu dans le drame d'un ciel orageux. Quelle étrange sensation la première fois que j'en fis le tour, une rupture dans le quotidien, un moment passé hors du temps à respirer un autre air : un pur bonheur! Et le même renouveau toutes les autres fois...
Depuis tous les bois, toute les forêts, les parcs même, et le moindre coin de verdure m'inspire un moment de paix, une communion, une harmonie avec le monde sylvain.
Il n'en a pas toujours était ainsi, je me souviens qu'autrefois les bois sombres et les forêts recelaient les pires dangers qui soient. Dans les histoires de ma Grand-Mère il y avait un loups toujours tapis derrière un arbre, près à bondir et à dévorer, les épreuves les plus dangereuses avaient toujours lieux parmi des grands arbres sauvages qui devenaient eux même menaçant près à vous saisir et à vous perdre pour toujours au milieu de cet enfer vert et ténébreux. Heureusement, plus tard, je découvris la forêt de Lothlorien, celle des elfes de Tolkien, profondement enchantresse, pleine de magie et de mystères apaisant. Une forêt de lumière, à l'abris du Mal qui gagnait alentour. Une forêt de l'espoir qui offre repos et régénération aux âmes bienveillantes qui la traverse.
Les deux images sont là pourtant, jamais bien loin l'une de l'autre, les deux visages de la Sylve répondant à celui de sa mère Nature qui comme elle donne ou détruit sans jamais un mot pour justifier ses actions. Ainsi l'Automne laissera place à l'Hiver que le Printemps chassera pour préparer l'Eté qui se fanera en Automne flamboyant...
Il n'en a pas toujours était ainsi, je me souviens qu'autrefois les bois sombres et les forêts recelaient les pires dangers qui soient. Dans les histoires de ma Grand-Mère il y avait un loups toujours tapis derrière un arbre, près à bondir et à dévorer, les épreuves les plus dangereuses avaient toujours lieux parmi des grands arbres sauvages qui devenaient eux même menaçant près à vous saisir et à vous perdre pour toujours au milieu de cet enfer vert et ténébreux. Heureusement, plus tard, je découvris la forêt de Lothlorien, celle des elfes de Tolkien, profondement enchantresse, pleine de magie et de mystères apaisant. Une forêt de lumière, à l'abris du Mal qui gagnait alentour. Une forêt de l'espoir qui offre repos et régénération aux âmes bienveillantes qui la traverse.
Les deux images sont là pourtant, jamais bien loin l'une de l'autre, les deux visages de la Sylve répondant à celui de sa mère Nature qui comme elle donne ou détruit sans jamais un mot pour justifier ses actions. Ainsi l'Automne laissera place à l'Hiver que le Printemps chassera pour préparer l'Eté qui se fanera en Automne flamboyant...
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