Il y a ici un silence, une foi et des meurtrissures qui font mal. Je viens de refermer une de ces histoires se déroulant pendant les précédentes guerres mondiales (l'une, l'autre, peut importe). A chaque fois ma question est la même : Pourquoi?
Que l'on puisse haïr une personne ; la tuer car elle nous a fait du mal, car elle a fait du mal, car elle est profondément mauvaise... je peux encore le comprendre. Mais la même chose uniquement car elle est d'un autre pays, d'une autre religion, d'une autre couleur... de l'autre camp... là, non, je ne comprends plus.
J'ai essayé d'imaginer : tuer où être tuer, obéir ou être tuer... la peur de la mort est-elle suffisante pour tuer? Je me demande souvent ce que moi j'aurais fait... et bien sûr je l'ignore car on ne peut jamais savoir... on peut juste y penser. A ce sujet j'avais imaginé une histoire parmi tant d'autres :Un homme de peu de fois, nommé Satan, croise un beau matin le destin d'une certaine Damnaé. Ils s'aiment, se séparent puis se retrouvent ; ennemis cette fois, chacun d'un côté d'une infranchissable barrière. C'est la guerre : l'on ordonne à Satan de tuer la traîtresse, son ancienne maîtresse et sa petite fille qu'il devine être aussi la sienne.
Tuer ou mourir... voilà peut-être le seul choix qu'il reste. Quelques minutes, quelques années de plus on telle une quelconque importance si c'est pour les passer dans le remord et les éternels regrets? Où bien faire éternellement souffrir ceux que l'on aime suite à notre disparition? Choisir n'est jamais simple, voilà pourquoi il y a toujours quelqu'un pour vous dire quoi faire et c'est seulement lorsque l'on prend notre première vrai décision que l'on acquière enfin la liberté, ce libre arbitre si puissant et si dangereux, qui nous pousse parfois à la folie.
Que l'on puisse haïr une personne ; la tuer car elle nous a fait du mal, car elle a fait du mal, car elle est profondément mauvaise... je peux encore le comprendre. Mais la même chose uniquement car elle est d'un autre pays, d'une autre religion, d'une autre couleur... de l'autre camp... là, non, je ne comprends plus.
J'ai essayé d'imaginer : tuer où être tuer, obéir ou être tuer... la peur de la mort est-elle suffisante pour tuer? Je me demande souvent ce que moi j'aurais fait... et bien sûr je l'ignore car on ne peut jamais savoir... on peut juste y penser. A ce sujet j'avais imaginé une histoire parmi tant d'autres :Un homme de peu de fois, nommé Satan, croise un beau matin le destin d'une certaine Damnaé. Ils s'aiment, se séparent puis se retrouvent ; ennemis cette fois, chacun d'un côté d'une infranchissable barrière. C'est la guerre : l'on ordonne à Satan de tuer la traîtresse, son ancienne maîtresse et sa petite fille qu'il devine être aussi la sienne.
"_ Tirez, mais tirez bon sang!!!
Il tira, chancela et tomba, un trou au milieu du front."
Il tira, chancela et tomba, un trou au milieu du front."
Tuer ou mourir... voilà peut-être le seul choix qu'il reste. Quelques minutes, quelques années de plus on telle une quelconque importance si c'est pour les passer dans le remord et les éternels regrets? Où bien faire éternellement souffrir ceux que l'on aime suite à notre disparition? Choisir n'est jamais simple, voilà pourquoi il y a toujours quelqu'un pour vous dire quoi faire et c'est seulement lorsque l'on prend notre première vrai décision que l'on acquière enfin la liberté, ce libre arbitre si puissant et si dangereux, qui nous pousse parfois à la folie.
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