Le 20 juin 2006
Vertige hivernal
Des racines écarlates aux ramures de givres
L’hiver est venu abattre les bois tendres et fragiles
Au cœur noueux d'une sylve ivresse .
Des flocons valsent entre les branches
Dénudés de leurs parures graciles
Et le mauvais vent cri sa vengeance
Jusqu’au plus haut sommet des cimes.
Noir et blanc se partagent un moment
Les mille merveilles et les cris de la nuit
Quand le sang de tous les arbres vivants
Fuit hors ce lieu de sauvages idylles.
L’hiver est venu abattre les bois tendres et fragiles
Au cœur noueux d'une sylve ivresse .
Des flocons valsent entre les branches
Dénudés de leurs parures graciles
Et le mauvais vent cri sa vengeance
Jusqu’au plus haut sommet des cimes.
Noir et blanc se partagent un moment
Les mille merveilles et les cris de la nuit
Quand le sang de tous les arbres vivants
Fuit hors ce lieu de sauvages idylles.
Stolvezen Haydran.
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