Après Kung Fu Panda, j'ai jeté mon dévolu sur l'autre film d'animation du moment disponible à bord : Wall-E. Toujours pour le même raisons : une durée raisonnable me permettant tout de même d'aller dormir quelques heures avant le lendemain et puis un anglais facile à comprendre au vu du peu de mots prononcés par le petit robot.
Je ne peux, une fois de plus, que saluer les prouesses accomplies par les studios Pixar pour donner vie à ce petit robot de fils et de fer.
Wall-E est très expressif : parfois drôle, parfois triste mais toujours curieux et entreprenant, ne reculant devant aucune difficulté et repoussant un peu plus loin les limites de l'impossible. Car au delà de sa mission première, ce petit robot rouillé a apprit à rêver. Il collectionne tout un bric à brac d'objets insolites laissés sur Terre par des humains qui l'on abandonné aux pinces des robots nettoyeurs, dont il est le dernier représentant encore vivant (euh... en état de marche). Il est ingénieux, attentif et va même se découvrir romantique et aventurier. Ce robot a bien l'âme des petits héros du monde de Pixar.
Après une rude semaine à me morfondre sur mon sort, Wall-E a su me redonner un peu d'optimisme. J'ai regagné ma cabine à bien plus de minuit passé, le coeur bien plus léger qu'il ne l'était en la quittant quelques heures plus tôt. Et j'ai bien dormi ; d'un vrai sommeil, réparateur.
Comme quoi ce petit robot ne fait pas que ranger les déchets des humains, il balait aussi leurs idées noires.
Comme quoi ce petit robot ne fait pas que ranger les déchets des humains, il balait aussi leurs idées noires.
Merci Wall-E.
3 commentaires:
Bon à connaître ton remède contre les idées noires!...
... Et j'en ai tout plein d'autres ;-)
Oohh! Je suis tout à fait réceptive à de nouveaux arrivages... Déjà j'ai vu le Monde de Narnia 1, qui m'a beaucoup plu (plus que le 2nd a vrai dire...).
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