Pas plus tôt que ce week-end, j'ai découvert avec émerveillement l'immense plage des Blancs Sablons où mon cher et tendre était allé pendant ma semaine de mer. Quelle découverte !!! Du sable fin, une mer d'une clarté incroyable, une vaste crique protégée des vents et, sur les dunes, tout plein de mûres et de prunelles qui n'attendent plus que moi pour être mangées. Miamm. Une fois rassasiée de ces baies sauvages, il ne reste plus qu'à descendre sur la plage elle-même, à marcher longtemps vers la lointaine mer basse et à tremper ses pieds dans une eau pas si froide que ça. Ah! Si seulement nous avions pensé à prendre nos maillots!!!
Mon Nicolas est tout heureux que le sable encore mouillé sur lequel remonte la mer regorge de palourdes. Du coup, il ne peut résister à l'envie d'en pêcher quelques-unes qui seront dévorées le soir même. Quant à moi, qui n'aime guère le goût des coquillages, je m'en vais promener au fils de l'eau, comme je le faisais jadis, lors de mon court séjour dans la cité des Corsaires sur la plage du Sillon. Sillon, Blanc Sablons : les mêmes sensations, mais deux univers différents. Ici c'est le bout du monde, le paysage est plus austère, les falaises surplombant la plage donnent une impression de vertiges, les odeurs flottant dans l'air sont aussi plus sauvages. La présence de l'homme y est bien moins palpable qu'au bord de la ville close. C'est l'air du large, c'est l'océan...
Arrivée au bout de la plage, je sors mon appareil pour prendre quelques photos de ce lieu. Il est dur de trouver l'image qui lui rendra vraiment honneur, tant mon viseur me semble étroit face au grandiose de l'endroit.
Mon Nicolas est tout heureux que le sable encore mouillé sur lequel remonte la mer regorge de palourdes. Du coup, il ne peut résister à l'envie d'en pêcher quelques-unes qui seront dévorées le soir même. Quant à moi, qui n'aime guère le goût des coquillages, je m'en vais promener au fils de l'eau, comme je le faisais jadis, lors de mon court séjour dans la cité des Corsaires sur la plage du Sillon. Sillon, Blanc Sablons : les mêmes sensations, mais deux univers différents. Ici c'est le bout du monde, le paysage est plus austère, les falaises surplombant la plage donnent une impression de vertiges, les odeurs flottant dans l'air sont aussi plus sauvages. La présence de l'homme y est bien moins palpable qu'au bord de la ville close. C'est l'air du large, c'est l'océan...
Arrivée au bout de la plage, je sors mon appareil pour prendre quelques photos de ce lieu. Il est dur de trouver l'image qui lui rendra vraiment honneur, tant mon viseur me semble étroit face au grandiose de l'endroit.
2 commentaires:
Et j'y suis retournée aujourd'hui, pour me baigner cette fois. Ah! quelle agréable sensation que celle de se sentir sirène dans les eaux océannes... même si ces eaux étaient bien froides !!!
Jolie balade...
I wanna go!!!
Les photos sont belles, comme toujours, et j'ai bien aimé le petit film qui fait le tour de l'eau...
Tu as de la chance, toi, de pouvoir te baigner... Moi qu'aime bien l'eau... froide! Il est dur d'y rentrer mais après, c'est la récompense! Comme une course à fond... Faut s'y mettre, mais quand t'es lancée...
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