lundi 23 août 2010

Gentil virus

Oh ! ce n'est pas un virus au sens premier du mot. Non. Ceux là sont toujours très méchants avec moi.

Il s'agit cette fois d'un aimable virus qui me clou chez moi, non à cause du froid mais à cause d'une irrépressible envie de gribouiller sur la première feuille blanche passant à porté. Et il y en a... Ce sympathique et envahissant virus est celui du dessin. Un virus qui me pousse à tailler mes crayons, à inhumer des cartons tous les anciens gribouillis du passé, et à en étaler d'autres un peu partout. Mon nid en est tout envahi.
Pour la plupart ces gribouillis ne sont que de rapides croquis griffonnés au crayon gris sur un vulgaire bout de papier (parfois guerre plus large qu'un ticket). Mais certains, bien plus rares, sont déjà de belles esquisses qui méritent parfois quelques couleurs pour égayer mes heures grises sous un ciel résolument sombre d'où tombe la pluie. Je trouve juste dommage que mes modestes talents ne suffisent que rarement à rendre hommage aux images qui peuplent mon âme.

Gentil virus, ne me lâche pas encore et inspire moi quelques petits trésors !

6 commentaires:

MBT a dit…

garde soigneusement ce virus, prend en photos tes dessins et publie les. La créativité partagée et parfois plus forte. :)

Stolvezen a dit…

Promis, je vais tâcher de l'entretenir précieusement.
Et je déposerais sur les Vertiges quelques gribouillis dès mon retour de la Grande Bleue ;-)

Bises

MBT a dit…

J'ai hâte d'en voir plus.

petit armen a dit…

Les grands artistes ont souvent gribouillé sur des support très divers.
Et Picasso payait avec des chèques ( même des petites sommes) car ceux qui les recevaient ne déposaient pas toujours les chèques à la banque pour garder sa signature....mais ne rêve pas trop tu n'en n'est pas encore là.

Stolvezen a dit…

Hélas, je suis née un jour trop tard pour pouvoir me prendre pour Picaso !

Lodi Office Cleaning a dit…

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